Ces « Pierres de nuit » ou « Vierges noires » ne sont pas des « idoles » qui emplissent les yeux de leur densité ou de leur forme, mais des « icônes » épurées qui ouvrent le regard à l’Invisible.
Elles nous rappellent notre obscure et lumineuse essence.
Conscience vierge, plénitude insaisissable, sagesse qui discrètement comme la nuit rayonne.
Les noirs d’Arto et de Sarov ne sont pas des rêves de l’invisible.
Ils sont l’invisible même, sa pure présence.
Décembre 2014