Mise en ligne le 21 nov. 2009
Extrait tiré du site: http://www.baglis.tv, la chaîne de la Tradition.
Depuis la découverte des manuscrits de Nag Hammadi, le corpus des Évangiles s’est enrichi de textes attribués à Thomas, Philippe ou Pierre. Parmi eux « l’Evangile de Marie » écrit en l’an 150, traduit par Jean-Yves Leloup, est le témoin du christianisme primitif et d’une parole féminine cachée même aux apôtres.
Pour l’auteur, l’Évangile de Myriam de Magdala (Marie Madeleine) est l’itinéraire du féminin en chacun de nous, homme et femme, de la psyché vers son accomplissement, son repos. Signifiant la « bonne nouvelle », il préfigure ainsi une aventure charnelle et spirituelle salvatrice.
L’intégralité de la conférence est disponible à cette adresse: