Ce que dit Donald Trump : « Ce n’est pas parce qu’il y a des accidents de la route, qu’il faut arrêter de construire des automobiles ; ce n’est pas parce qu’il y a des épidémies qu’il faut détruire ou ralentir l’économie ».
Je crois qu’il faudrait exactement faire le contraire.
Si l’automobile est à l’origine de tant de morts et d’infirmités, ne pourrions-nous pas utiliser notre intelligence pour créer d’autres modes de transport et de déplacement (je ne parle pas des tapis volants ou des téléportations quantiques) ; Imaginer d’autres moyens de se mouvoir et des voyages intérieurs peut-être plus intéressants.
S’il y a tant de grippes et de virus mortels, ne pourrions-nous pas utiliser notre science pour réformer nos modes de vie, assainir notre terrain et découvrir une autre économie ; une économie de communion plutôt que de consommation par exemple.
La vieille question des Thérapeutes d’Alexandrie est toujours d’actualité : « consommer ou communier ? », consommer nous consume, communier nous allume…
Consommer ou communier est l’écho concret d’une question encore plus profonde : aimer ou ne pas aimer ?
Quand découvrirons-nous que la loi du mépris, de l’indifférence, du non amour, nous conduit à plus de souffrance et d’absurdité ? Est-ce possible de lui substituer la loi de l’attention, du respect et de l’amour, qui nous conduit non vers « le meilleur des mondes » ou autres utopies, mais vers un monde meilleur et possible ?
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Crédit photo : Photo de ©Paul Hermann site Unsplash